Disgaea 7 : Les votes des vertueux, le bilan d'un retour en beauté

Nippon Ichi réessaye : Disgaea 7 : Vows of the Virtueless ramène la série à la normale après le sixième épisode insignifiant. Notre avis.

Nippon Ichi n'a pas très bien géré la prétendue relance de sa série phare : Disgaea 6 était censé rompre avec le passé, représenter un redémarrage en douceur avec un nouveau design graphique pour laisser la place à de nouveaux joueurs et à la place, comme nous l'avons vu dans la revue du jeu , Ce n’était pas une question de rire. Ordre inverse, prenons du recul, ont-ils dû dire à Kakamigahara, et entre-temps ils commençaient à frustrer les principaux partisans du précédent désastre technique. En ce sens, on pourrait dire que Disgaea 7: Vows of the Virtueless Il s’agit d’un titre réparateur à plusieurs égards.




Si vous aimez Disgaea, c'est probablement la question qui vous préoccupe en ce moment : est-il meilleur que Disgaea 5, que beaucoup considèrent comme le summum de la série ? Si vous voulez en savoir plus, continuez à lire le nôtre. Avis sur Disgaea 7, que nous avons testé dans la version Nintendo Switch, mais gardez à l'esprit que nous ciblerons aussi et surtout les nouveaux joueurs, ceux qui s'approchent de Disgaea pour la première fois et veulent savoir s'ils doivent ou non investir leur argent dans l'un des meilleurs jeux. de rôles stratégiques en circulation.




Histoires de démons et de Bushido

Disgaea 7 : Les votes des vertueux, le bilan d'un retour en beauté
L'intrigue de Disgaea 7 est idiote comme toujours et très drôle.

Ce n'est pas vraiment logique d'en parler fiction dans un jeu comme Disgaea, qui est pratiquement un ensemble de gags répétés et de doubles sens, de dialogues doublés en anglais ou en japonais - sous-titrés uniquement en anglais - entre des illustrations statiques qui suivent un bref fil conducteur. Certains Disgaea se sont pris plus au sérieux que d'autres, mais ce n'est pas le cas de Vows of the Virtueless, qui est, en fait, l'un des épisodes les plus fous qu'on ait joué ces vingt années.

Maintenant, cela n’a même plus de sens de parler de chronologie ; Cette fois-ci nous nous retrouvons à Hinomoto, un univers composé de plusieurs Enfers où les démons suivaient le code d'honneur de Bushido jusqu'à ce que le Demmodoro Opener arrive pour imposer un régime sadique, des choses comme ça, ceux qui ne paient pas d'impôts doivent être tués à mort (sic !). Eh bien, ce n'est pas si terrible qu'il y paraît et les démons l'ont généralement bien pris, surtout Fuji, notre protagoniste, qui déteste Bushido, mais déteste aussi Demodoro pour des raisons qui seront découvertes au cours de l'aventure.


Fuji et Pirilika forment donc un couple étrange : elle, en revanche, est obsédée par le Bushido, pratiquement un otaku de premier ordre qui vise à le restaurer en réunissant les sectes. armes légendaires des Fondateurs, des artefacts extrêmement puissants qui confèrent des pouvoirs extraordinaires à ceux qui les utilisent. Et c’est essentiellement toute l’histoire. Divisé en épisodes, avec des pauses publicitaires entre chacun, il suit les aventures des protagonistes et des étranges alliés qui rejoignent leur cause entre une mission et une autre. La dynamique est la même que toujours : il y a un quartier général et de là vous accédez à la campagne ou à toutes les différentes fonctionnalités qui se débloquent petit à petit.



Faire une liste stérile de ce que Disgaea 7 : Vows of the Virtueless ajoute ou soustrait à la série n'aurait guère de sens, tout comme ce serait une perte de temps de se concentrer sur les paramètres, les statistiques, les pourcentages et les innombrables possibilités et synergies que le nouveau Jeu de rôle stratégique par Nippon Ichi. Si vous êtes un fan inconditionnel de la série, habitué à constituer pendant des centaines d'heures l'équipe parfaite capable d'infliger des milliards de dégâts en une seule fois, vous n'avez probablement pas besoin de connaissances préalables.


Les bases du combat de Disgaea 7

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Disgaea 7 : Les classes Vœux des Sans-Vérité sont plus de quarante et incluent des monstres et des variantes

Nous nous adressons également à ceux qui n’ont jamais touché à Disgaea, et la première question qu’ils nous poseront est : peut-on commencer par les votes des sans vertu ? Absolument oui, et au niveau narratif il n'y a pas de liens avec les autres jeux autres que de vagues références, alors qu'au niveau jouable la question est plus compliquée. Disgaea 7 explique chaque mécanique bénie avec des tutoriels clairs et complets. Il faut lire les sous-titres, les digérer, puis assembler les morceaux pour en tirer le meilleur parti. Ce n'est pas un jeu facile, certainement pas aussi facile que Disgaea 6, et dans l'ensemble, cela semblait plus facile. exigeant par rapport à la moyenne de la série, pour une série de raisons que nous vous expliquerons.



En particulier, le système de combat asynchrone pourrait donner du fil à retordre aux débutants. Le joueur peut déployer un certain nombre de personnages sur le champ de bataille de l'échiquier, et durant son tour il peut les déplacer et les faire agir sans suivre un ordre logique ou précis. Vous pouvez par exemple déplacer un personnage près d'un soigneur, le faire soigner, le déplacer ailleurs et le faire attaquer une cible. Tant que la commande Exécuter n'est pas utilisée, il est possible d'annuler n'importe quelle décision, et le tour ne se termine que lorsque le joueur le décide. A ce moment-là, c'est le tour de l'ennemi, puis on recommence.

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Le siège de Pirilika est beau à regarder.

Les bases sont assez faciles à comprendre, mais Disgaea 7 est un titre qui submerge le joueur de statistiques, pourcentages, paramètres, chiffres et fonctionnalités dès les premières minutes. Les nouvelles recrues peuvent avoir quelques difficultés à comprendre toutes ces informations et descriptions, d'autant plus que le jeu n'explique pas clairement la boucle principale, qui dépend plus que tout de la façon dont vous abordez les batailles et de la manière dont vous revenez au quartier général de Pirilika. Contrairement au titre précédent par exemple, vous devrez désormais soigner manuellement les personnages après chaque combat, en passant parHôpital payant : Les missions fluides sont rares avec HL, la monnaie principale de Disgaea, et pour les accumuler il faut recourir à diverses solutions qui dans les premières heures de jeu sont assez limitées.

Cela signifie qu'après une bataille malheureuse où vous auriez peut-être préféré expérimenter plutôt que jouer la sécurité, vous pourriez vous retrouver avec moins de HL que nécessaire pour soigner toute l'équipe, et vous pourriez donc être obligé de le faire. répéter les premières missions juste pour accumuler l’argent nécessaire pour remettre les personnages sur les rails.

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Les armes légendaires accordent le mode Enfer à des personnages uniques

C'est une solution assez malheureuse, il faut le dire, mais la monnaie a un inconvénient : chaque cure payante se traduit par une autre monnaie avec laquelle vous pouvez participer à une sorte de tirage au sort qui récompense le joueur avec des consommables utiles, du matériel intéressant, du HL. et Manne. Et cette boucle sert à passer les premières heures, du moins jusqu'aux tâches secondaires, répétables ou non, ou auMonde de l'article. C’est à ce moment-là que Disgaea 7 commence vraiment à prendre forme. De nombreuses autres possibilités de personnalisation et d'expérimentation s'ouvrent, surtout maintenant que Nippon Ichi a repensé le monde des objets et que l'utilité de l'équipement revient au premier plan. En regroupant les différentes fonctions proposées par le siège, vous pourrez planifier de véritables stratégies pour accumuler des ressources en abondance.

Est-ce que tout cela est vraiment nécessaire ? Pas vraiment, à moins que vous souhaitiez approfondir ce que Disgaea 7 peut vous offrir. La campagne se déroule sans trop de paranoïa, même si de temps en temps il faut s'arrêter pour travailler sur les personnages pour surmonter certains obstacles pics de difficulté, mais il faut admettre que cela n'a pas beaucoup de sens de jouer Disgaea juste pour l'histoire qui, comme nous l'avons dit, est hilarante mais pas vraiment mémorable, également parce que le nouveau casting, à l'exception de certains personnages principaux, est assez stéréotypé . .

Beaucoup ou trop ?

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The Dark Assembly s'inspire cette fois du sumo

Enfoncer les griffes dans Disgaea 7, c'est étudier sereinement chaque opportunité, faire des erreurs et réessayer, en investissant parfois plus de temps que nécessaire. Un aspect de ce septième chapitre qui nous a laissé un mauvais goût dans la bouche, par exemple, est le nombre excessif d'éléments enfermés derrière l'habituel. assemblage sombre: Nous devons payer en Mana – une monnaie que les personnages gagnent individuellement – ​​et il n'est pas certain que le conseil votera en faveur de notre demande. Vous pouvez toujours recharger le jeu, bien sûr, mais ce n'est pas le sujet. Pour débloquer certains contenus, vous devez nécessairement investir du temps et des efforts supplémentaires, surtout maintenant que, contrairement à ce qui s'est passé dans Disgaea 6, leexpérience Ce qui est gagné au combat n'est plus partagé ou attribué à la fin de la mission, mais est attribué individuellement à chaque fois qu'un personnage effectue certaines actions.

D'une part, cela signifie que vous pouvez manipuler la dynamique du jeu pour l'exploiter à votre avantage. Si vous souhaitez développer rapidement un certain personnage, vous pouvez vous rendre à la Dark Assembly pour lui faire gagner le triple de points d'expérience lors de la prochaine mission et lui faire absorber l'expérience acquise par ses coéquipiers : à ce stade, vous pouvez le coincer. , envoyez les plus forts et laissez-les acquérir toute leur expérience.

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Demonic Intelligent a été revu et corrigé.

D'autre part, Disgaea 7 propose des raccourcis tels que bar à jus, dans lequel sont accumulés des points d'expérience supplémentaires qui peuvent ensuite être distribués à volonté, et Réincarnation, qui permet de réinitialiser le niveau d'un personnage, en maintenant un pourcentage des valeurs atteintes. Tout ce que les fans de Disgaea ont déjà fait dans le passé. Il y a un manque d'innovation, en ce sens, car certaines mécaniques ont changé, d'autres ont été annulées, mais en général nous avons atteint la septième itération d'une série qui est restée la même depuis vingt ans, et la fatigue commence à apparaître. ... devient trop important pour être ignoré.

Naturellement, quelques nouveautés viennent animer un peu le gameplay. Les personnages uniques qui obtiennent les armes des Fondateurs peuvent remplir certaines conditions pour activer une amélioration temporaire, appelée mode enfer, ce qui les rend beaucoup plus forts et leur confère des capacités supplémentaires et des mouvements spéciaux. En ce sens, Nippon Ichi a mieux travaillé sur les personnages uniques, qui semblaient plus équilibrés et polyvalents que par le passé : les super passionnés préféreront probablement encore les unités personnalisables, qui peuvent s'appuyer sur un grand nombre de classes différentes, mais les joueurs du Au À la dernière minute, ils pourront aligner en toute sécurité Fuji, Pirilika, Ceefore et compagnie pour terminer l'histoire.

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L'équipement confère plusieurs avantages.

Disgaea 7 : Vows of the Virtueless est toujours un titre où vous pouvez atteindre des niveaux ridicules comme 9.999 XNUMX, infliger des milliards de dégâts et être témoin de chaînes de contre-attaques qui ne finissent jamais. Le développeur japonais a également revu et corrigé le expertise en armes - désormais chaque catégorie débloque un certain nombre de compétences - et en monstres, qui se sont mieux diversifiés qu'avant et ont désormais leur propre raison. Des mécanismes tels que le levage et le lancement ou le système de Panneau géographique - les parties de la carte qui peuvent être influencées par les avantages ou les inconvénients conférés par les petites pyramides mobiles - reviennent dans les mêmes tailles que dans les épisodes précédents, mais le level design des cartes semblait nettement plus réfléchi, notamment dans la campagne, tandis que dans le monde Point procédural, nous avons préféré opter pour des cartes réalisées en morceaux.

Nippon Ichi a également changé le intelligence démoniaque, c'est-à-dire la fonctionnalité qui permet d'établir une série de paramètres logiques - comme les Gambits de Final Fantasy XII, pour ainsi dire - pour automatiser les batailles. Non seulement il consomme désormais une ressource limitée qui doit être accumulée par les combats, mais le combat ne peut être automatisé que sur des cartes de campagne déjà complétées. Des cartes que l'on peut également visiter plus tard comme dans un RPG normal pour trouver des objets de collection et des missions secondaires spéciales.

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Un Prinny magnifié par la nouvelle Jumbification

Le gameplay le plus innovant de Disgaea 7 est l'appel Jumbification. Une fois certaines conditions remplies, il est possible d'étoffer un personnage d'équipe qui restera sur la carte pendant trois tours comme un vrai kaiju, avec une scène d'introduction rappelant les films catastrophe. Le personnage jumbifié peut attaquer de deux manières : il peut attaquer une grande zone de la carte, infligeant des tonnes de dégâts (qui sont également augmentés) à toutes les unités prises au milieu, ou il peut cibler un personnage ennemi qui a été jumbifié. . .

Au début, nous n’étions pas particulièrement enthousiasmés par Jumbification. Utilisé pour clôturer des missions rapidement ; Une fois la jauge remplie, vous faites grandir un personnage et détruisez les ennemis restants en un clin d'œil. Mais en continuant le jeu, à mesure que la difficulté augmente et queintelligence artificielle devient amère, la Jumbification prend des contours de plus en plus stratégiques : nos kaiju servent à attirer l'attention des ennemis, qui préféreraient les attaquer que nos unités normales, et en même temps nous devons faire une course contre la montre car la durée est limitée et Il ne peut pas rester impuissant à la merci d'un Godzilla ennemi.

Améliorations techniques

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Les modèles 3D sont sympas mais Disgaea 7 est un titre obsolète.

Nous omettons plusieurs particularités dans notre examen, comme la Equipes dans lequel il est possible de rassembler des personnages pour obtenir des bonus spécifiques, la refonte de l'Innocence dans le Monde des Objets, les attributs aléatoires qui influencent les armes et accessoires... Il y a beaucoup à dire, mais ce sont toutes les informations qui seront particulièrement intéressantes à une certaine niche de joueurs, ceux qui à ce stade ont déjà compris s'ils veulent ou non jouer à cette nouvelle version de Disgaea et qui trouveront ce qu'ils cherchent.

Le stratégique Nippon Ichi peut durer une trentaine d'heures Comme trois cents, tout dépend de la façon dont vous l'abordez, et le contenu supplémentaire est non négligeable : quêtes secondaires, personnages secrets uniques à débloquer, super boss à vaincre, etc. Le monde des objets lui-même, maintenant que les objets peuvent également être réincarnés, représente un contenu pratiquement infini, et le mode multijoueur, aussi rare soit-il, mérite une mention.

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Les objets, armes et accessoires sont plus importants qu’avant.

Bien entendu, le problème consiste à surmonter l'obstacle répétitivité, non seulement en termes de gameplay, mais aussi dans les similitudes entre ce Disgaea 7 et les précédents. De nombreuses options vous permettent de personnaliser le jeu, d'accélérer les animations et les mouvements, de supprimer automatiquement les cinématiques pendant le combat, de sauter complètement les intermèdes de l'histoire - vous pouvez jouer comme vous le souhaitez, mais la vérité est que la série a commencé de temps en temps pour se consolider également dans un sens technique.

Par rapport à Disgaea 6 qui fut un désastre, heureusement des progrès ont été réalisés. Le moteur est toujours le même, mais je. modèles 3D Ils sont bien plus nets et détaillés, cette fois, avec des animations plus fluides et épurées, aussi bien dans les scènes intermédiaires de sorts et d'attaques spéciales, que sur le champ de bataille lui-même. Disgaea 7 est dans l'ensemble un titre très coloré, reflétant la brillante vivacité des décors d'Hinomoto, notamment sur l'écran OLED, avec un design de personnages net qui rendra fous les amateurs d'animation japonaise.

avec performance de Disgaea 6 au lancement de la version Nintendo Switch il n'y a même pas de comparaison : les deux modes graphiques garantissent une plus grande fluidité et l'autre une meilleure définition d'image, avec des ralentissements visibles uniquement dans les cartes les plus chargées qui, de toute façon, ne le font pas non plus. ils dérangent Tout va mieux, tout comme Musique de Takeshi Matsumoto et Tomohiro Horihata., qui remplacent l'historique Tenpei Sato, tiennent bon, mais peut-être commençons-nous vraiment à ressentir le besoin d'un saut générationnel qui projette Disgaea dans le futur sans le dénaturer.

Conclusions

Version testée Nintendo Switch Livraison numérique Nintendo eShop prix 59,99 € Holygamerz.com 8.0 Lecteurs (1) 8.2 votre vote

Bien qu'il ne s'agisse pas d'un triomphe d'originalité et d'innovation, Disgaea 7 : Vows of the Virtueless est un retour à la complexité qui a fait de la série Nippon Ichi l'une des séries les plus appréciées du genre de stratégie au tour par tour. Le développeur japonais a mis tout son cœur dans cette itération qui, malgré ses limites techniques, garantira beaucoup de satisfactions aux fans inconditionnels de Disgaea. On le recommande également aux fans du genre qui abordent cette marque pour la première fois, mais il faut les prévenir que la montée est raide et que le jeu prend son temps, même un peu maladroitement, avant de réellement se lancer.

PRO

  • Peut-être l’itération la meilleure et la plus complète de Disgaea.
  • Plus grande possibilité de personnalisation et d’expérimentation.

CONTRE

  • La progression n’est pas exactement équilibrée
  • Sentiment constant de déjà-vu pour les vétérans de la série
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